Kerayel — Maison française du Virgin Hair
Kerayel naît d’une idée simple : traiter le cheveu comme une matière noble, avec l’exigence d’une maison française. Notre terrain, c’est la qualité brute ; notre promesse, une esthétique durable qui ne triche pas.
Qui nous sommes
Nous travaillons exclusivement des mèches virgin hair : 100 % naturelles, jamais traitées chimiquement, issues de donneuses uniques. L’alignement des cuticules est préservé, la cohérence des lots est documentée. La sélection se fait à froid : préférence pour la densité lisible, la fibre saine, la réponse nette à la chaleur.
Basée en France, la maison assume une lecture européenne du luxe : sobriété formelle, exactitude technique, respect de la matière. Pas d’effets, pas de poudre aux yeux. Du tangible.
Notre matière
Un bon cheveu n’a rien de spectaculaire : il est régulier, docile au coiffage, stable à la coloration, fidèle dans le temps. Nous refusons les mélanges opaques et les traitements “couvrants” qui maquillent les défauts pour mieux en créer d’autres. Mieux vaut un cheveu vrai qu’un cheveu spectaculaire une semaine.
“Le cheveu n’est pas un gadget ; c’est une syntaxe. Il structure le visage comme une typographie structure une page.”
Méthode
- Sourcing lot par lot, sans mélange d’origines.
- Contrôle en France : densité, porosité, élasticité, comportement thermique.
- Documentation claire : ce que la matière peut faire, et ce qu’elle ne fera pas.
Pragmatisme, traçabilité, honnêteté. Rien d’autre.
Service
Conseils directs : teinte, longueur, routine. On privilégie la tenue dans la vraie vie avant le rendu en lumière de studio. Une recommandation solide aujourd’hui vaut mieux qu’une promesse fragile demain.
Nos engagements
- Traçabilité : origines claires, lots homogènes, alignement des cuticules conservé.
- Intégrité : zéro traitement agressif, zéro mélange opportuniste.
- Durabilité : pièces pensées pour être portées, entretenues, réutilisées.
- Conseil honnête : recommandations nettes, pas de promesses creuses.
Position
Kerayel s’adresse à celles qui veulent du réel : une fibre qui vit, se coiffe, se colore sans perdre son aplomb. L’esthétique, oui — mais indexée sur la matière, pas l’inverse.
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